DE LA MONTAGNE
De la montagne jaillit un cri
Partout il est repris
Par des jeunes à l’unisson
Bouira Bejaîa et Tizi
Dans une ancestrale harmonie
S’éveillent à l’aube d’un avril naissant
Pas de pardon pas d’oubli
C’est l’hommage à rendre à Massi
Qui a peint le drapeau de son sang
Authentiques fils d’Algérie
Les jeunes de Kabylie
Au pouvoir donnent des frissons
Ils s’opposent à tous les dénis
Aux fossoyeurs d’éclaircies
Liberté est leur seule chanson
Pour imposer la démocratie
Ils ont versé leur sang innocent